The Vortex Swim : de quoi s'agit-il?
Le Vortex Swim est une expédition initiée par un groupe d'écologistes passionnés, dans le cadre de la journée mondiale de l'Océan. Le Vortex Swim débute le 8 juin 2019, dure trois mois et consiste essentiellement pour Ben Lecomte (ancien nageur) et d'autres écologistes à étudier les plastiques dans l'océan Pacifique.
Entre dur labeur et moments de détentes, le Vortex Swim est une manière pour les membres de l'équipage du Discoverer (voilier utilisé pour cette expédition) de vivre leur passion, au même moment qu'ils apportent leur contribution à la lutte contre le rejet des déchets plastiques dans l'océan. C'est fort de cet idéal que Tyral Dalitz, Yoav Nevo, Adam Hill, Corbin Marshall, David Langdon, Hannah Altschwager, Joshua Munoz et Marina Botana ont décidé d'accompagner Ben dans cette aventure.
Grâce au Vortex Swim Ben et les membres de l'équipage espèrent recueillir le maximum de données analysables sur la pollution plastique. L'objectif final ? Une analyse approfondie de la menace que représente le plastique et qui s'abat sur les océans du monde. A cet effet, Ben s'est fixé pour objectif de parcourir à la nage le Pacifique, pendant 8h par jour sur 300 miles marins, de Hawaï jusqu'en Californie. Le Vortex d'ordures est la base mondiale, la plus grande concentration de plastiques des océans du monde ramenés par les courants.
Pour que cet objectif puisse être atteint, Tyral dans son rôle de second organisateur et responsable de l'expédition se charge de guider Ben et de coordonner l'opération alors que Yoav veille au bon suivi de l'itinéraire et des activités sur le voilier. Yoav supervise aussi les opérations sur le bateau pendant la journée.
7 jours, 1 t-shirt, 0 lavage
Quand on parle de pollution des océans, la conception majoritaire ne voit que les classiques sacs, pailles, bouteilles et toutes sortes de déchets plastiques qui empêchent une vision claire sur l'océan. Or, la pollution en l'occurrence va bien au-delà de cet aperçu et intègre la présence à des proportions inimaginables de micro-plastiques invisibles à l'œil nu. La principale source de provenance de ces derniers? Nos vêtements.
De fait, après leur passage dans la machine à laver, les textiles synthétiques rejettent des particules si petites qu'elles n'arrivent pas à être filtrées. Chaque lavage peut produire en moyenne 700.000 microfibres plastiques. Elles se retrouvent plus tard dans les océans.
Afin de contenir ces rejets de micro-plastiques, la marque Icebreaker estime que la solution se trouve dans la nature, notamment dans les fibres naturelles qui nécessitent moins de lavage et de ressources. Pour cela, Icebreaker propose un t-shirt à la limite de la perfection. Il s'agit d'un t-shirt confortable, conçu en fibres naturelles et qui ne sent pas mauvais, même après plusieurs jours d'utilisation.
Ces vêtements pour homme et femme ont une importante capacité de résistance à l'odeur et n'ont pas besoin d'être lavés régulièrement. Entre deux lavages, il est possible de porter ce t-shirt pendant 7 jours sans craindre de sentir mauvais. Le programme 7 jours, 1 t-shirt, 0 lavage est une solution efficace pour réduire ou arrêter définitivement l'émission de microfibres plastiques dans les océans.
La pollution des océans est un mal auquel fait face l'humanité depuis plusieurs années maintenant, au même titre que des maux dénoncés dans certains films à vocation politique que l'on retrouve notamment au festival de Venise. Face à cela, la réduction des rejets de microfibres plastiques apparaît comme la solution idoine.
Fondateur de Blog-United et d’autres médias en ligne, Yvan est un grand passionné du web. Blogueur depuis plus de 15 ans, il est fan de séries, de jeux vidéo, d’Art, de sport ou encore de nouvelles technologies.